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Valérie Prulhière et Emmanuel Caillaud ont été missionnés pour animer un groupe de réflexion sur le thème de « L'enthousiasme de l'ingénierie pour dépasser l'éco-anxiété ». Ils évoquent la réflexion en cours.

Un nouveau rapport du Think Tank :  alors que le PhD est le diplôme le plus recherché dans le monde, seuls 6% des ingénieurs français poursuivent en doctorat.   Michael Pereira et Rémi Bastien, entourés d’un groupe de réflexion, démontent les préjugés et mettent en valeur ce que le doctorat apporte aux ingénieurs. S’ensuivent des recommandations pour promouvoir ce profil d’avenir dans les écoles, la recherche et les entreprises.

Un résumé de nos travaux 2023 consacrés à l'avenir des technologies, de l'industrie et de l'ingénierie, dont deux nouveaux rapports : 

 l'un portant sur les ingénieurs au service de la santé,  l'autre analysant les représentations sociales et culturelles de l'ingénieur, en s'appuyant sur une enquête CSA exclusive auprès d'un échantillon de la population française. 

L’innovation technologique révolutionne la santé. Le secteur des Medtechs se développe à grande vitesse, notamment en France. Soigner n’est plus du seul ressort des médecins : les ingénieurs jouent désormais un rôle clé non seulement dans les entreprises mais aussi dans l’hôpital, au contact direct du patient, et donc au cœur de la transformation de nos systèmes de santé.

Ce rapport du Think Tank Arts & Métiers explique que cette transformation implique la mise en œuvre de nouveaux métiers, de nouveaux cursus de formation et de nouveaux espaces de coopération entre médecins et ingénieurs.

Il montre également combien « l’ingénierie de santé » constitue une voie attractive pour les jeunes générations, en quête de sens et soucieuses d’impact.

Une année studieuse attestée par plusieurs publications et par des travaux menés sur quatre thèmes, venant alimenter la réflexion prospective sur l’industrie et la technologie, ainsi que sur l’avenir de l’École Arts & Métiers.

Partant du constat que la France manque d’ingénieurs, ce rapport s'appuie sur un état des aspirations des jeunes générations et sur plusieurs comparaisons internationales pour mettre en évidence les facteurs-clés dans les choix d’orientation, au nombre desquels sont  :

-  la manière d’enseigner les STEM (Sciences, Technologies et Mathématiques) en primaire et au collège,

-  l’attractivité et l’employabilité perçues du secteur industriel.

Dès lors, les recommandations des rapporteurs s’adressent tant au monde de l’enseignement, qu’à celui de la recherche et à celui des entreprises.

Au travers de cette Note d’Analyse, Alain Charmeau nous livre une synthèse des points-clés du remarquables ouvrage de Nicolas Dufourcq, qui était l'invité d'honneur du Cercle de La Rochefoucauld et d'Arts & Métiers Alumni le 13 septembre dernier. Le Think Tank Arts & Métiers s’inscrit parfaitement dans le diagnostic dressé et les perspectives esquissées dans cet ouvrage, qui constitue ainsi une base solide pour nos travaux de réflexions en cours et à venir.

À la question posée initialement par la Fondation Arts & Métiers, Daphné Parlebas et Arthur Glotin ont apporté des réponses très claires, fondées sur une analyse originale menée avec le soutien actif de Florence Ferry, coordinatrice nationale de « Destination Ingénieur-e », Présidente IESF Normandie et Déléguée Régionale Normandie de « Femmes Ingénieures ».

Malgré la crise sanitaire, le Think Tank Arts & Métiers s’est montré particulièrement actif en 2021 : trois nouveaux rapports ont été publiés et quatre nouvelles réflexions ont été lancées. Notre conseil d’orientation a accueilli de nouveaux membres et notre réseau compte désormais plus de 50 contributeurs aux profils diversifiés.

Fort de sa double expérience d’industriel et de Directeur de Campus, Alain Dovillaire livre à AM TV les conclusions du Groupe de Réflexion qu’il a récemment co-piloté dans le cadre du Think Tank Arts & Métiers.

Valentine Ferréol et Charles Dehelly nous expliquent comment, à partir d’une vaste enquête originale du Think Tank, ils ont dressé un portrait-robot de l’ingénieur-manager 4.0. Celui-ci doit répondre à de fortes exigences en maitrisant à la fois une compétence « high tech » et une compétence « high touch ».